L'été indien est là, trop là, avec des 33 ° au plus fort de la journée et ce depuis des jours. J'entends les arbres pleurer, leurs feuilles se recroquevillent et tombent de sécheresse...
J'ai mal pour la nature, alors oui j'arrose mon jardin...je maintiens un éco-système humide et vert car je ne peux pas laisser mon environnent proche mourir de soif.
Je crée ainsi un oasis, peut-être faudra t-il dans le temps pouvoir créer des oasis, pour accueillir la faune et conserver une biodiversité...
Mon jardin est une vraie volière, les insectes, les écureuils, les papillons les chevreuils et les sangliers viennent y trouver refuge et je les accueille bien volontiers...puissent-ils y trouver un peu de réconfort.
Je vous laisse aussi vous rafraîchir au grès de cette promenade d'abord matinale puis plus tardive, quand le soleil se cache derrière les arbres du bord de la rivière.
Les balsamines vont faner très vite aussi
La poire de terre se porte à merveille.
Le texte et les photos sont magnifiques, il ne manque que l'odeur de la terre et le doux chant de la nature. Merci Agnès pour cette merveilleuse promenade bucolique et ce cri du cœur.
RépondreSupprimerDe rien Jacques, tu oublies le grognement du sanglier, le jappement du blaireau et le brame du cerf ! Oui tout ça dans mon jardin ! Je suis un peu fatiguée par tout ce monde !
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