Plissés




Aux plissés du rocher je préfère ceux du bois.
Le rocher n'a plus d'état d'âme, il semble immobilisé à jamais.
Le bois hésite sans cesse, la vie l'habite encore. 
L'un est en résilience l'autre a arrêté de se battre.
De cette résilience est née de la douceur,
Douceur végétale qui m'évoque aujourd'hui ma propre résilience.




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